::::monobandes > Mathieu Latulippe, Question, 3min09, 2004 > Sophie Bélair Clément, (se situer entre), 2min43, 2005 > Claire Savoie, 11.07.2006, 1min40, 2006 > Gennaro de Pasquale, 5 artifacts, 4min51, 2007 > Thierry Marceau, L'amour y sera toujours, 6min34, 2007 > Belinda Campbell, «Dis-moi ce qui regarde ?», 4min49, 2006 > Frédéric Lavoie, Dans la poubelle, 1min53, 2007 > Lamathilde, Pink Comb, 3min46, 2007 > Claire Savoie, 07.01.2007, 1min40, 2007 > Sophie Castonguay, Tu m'as eu Walterli, 3min26, 2005 > Patrick Bernatchez, sans titre, 13min16, 2007 > Claire Savoie, 12.02.2007, 0min54, 2007 > Claire Savoie, 20.02.2007, 4min15, 2007 ::::installation > Sébastien Lapointe Performance publik montréal 2005 en présence des réalisateurs : Mathieu Latulippe "Question" 3min09, 2004 Cette vidéo propose une énigme dont la réponse se trouve dans le non-sens des indices et l'anti-performance de l'acteur. Mathieu Latulippe vit et travail à Montréal. Sa pratique artistique consiste principalement ‡ mettre en relief la complexité du monde en déjouant certaines Èvidences ou attentes liÈes au sens commun. Son travail a été présentÈédans plusieurs événements et lieux de diffusions; dont le Festival des films sur l'art (Montréal, 2005-2006-2007), Circa (2006), le Lobe (2006), SÈquence (2007). ::::::::::::::::::::: Sophie Bélair Clément, ( se situer entre ) : 2min43, 2005 Cette vidéo-texte est une performance o˘, en regardant par la fenêtre de l'autobus, j'ai tenté de me situer dans l'espace transitoire du trajet en retenant mon souffle entre divers ÈlÈments spécifiques du paysage (voitures, passants, commerces). L'animation du texte dans une temporalitÈ vidÈographique crÈe un rapport actif avec le regardeur qui se prÍte à l'exercice. Dans une approche performative de la monobande vidÈo, du texte et de l'installation sonore, jíexplore les distances subjectives entre les corps. Je m'intéresse ‡ líimpression corporelle de líespace par le son dans des lieux spécifiques : les espaces d'exposition. :::::::::::::::::::: Gennaro de Pasquale; ´5 Artifactsª, 4min51, 2007 ´5 Artifactsª est un ensemble de cinq courtes vidéos. Elles ont ÈtÈ entièrement construites à partir de vieux films tournés en 8, 16, ou 35 mm, des films appartenant au domaine public tÈlÈchargÈs de l'internet. J'ai travaillÈ ‡ partir de fragments pour recomposer de nouvelles oeuvres audiovisuelles, organisant le son et l'image pour fabriquer de nouveaux rÈcits et Èlaborer des modulations narratives. Ce sont des oeuvres en basse résolution. Ces vidéos laissent place à l'imaginaire et à l'interprétation, elles contiennent une dimension à la fois narrative et abstraite. Elles puisent leur force dans les relations inattendues générées par les éléments visuels détournés de leur fonction d'origine. Gennaro De Pasquale est né en 1969 en Italie. Il vit et travaille à Montréal. Un volet de son travail porte sur la représentation du son à travers des objets, des images, des installations, et le son comme matière, langage et oeuvre artistique autonome.Son champ d'exploration artistique síinspire d'une réflexion sur l'impact des innovations technologiques sur notre conception du temps, des espaces de transmission et de socialisation.Son oeuvre est composée d'installations, de dessins, vidéos, photographies, pièces sonores et projets nouveaux médias. :::::::::::::::::::::::::::: Thierry Marceau, "L'amour y sera toujours", 6min34, 2007 ´ Les histoires sont souvent bien difficiles. Chacun patiente. Pour qui chante-t-on? Peu importe les gestes que líon pose, líamour y sera toujours. Thierry Marceau : je m'appuie sagement pour cette longue marche, qui par moment frappe, par moment marque des buts. S'agenouillant à tous mes jolis costumes, Tout le monde aime les roulades. Je pointe. Je tÈmoigne. Je vois et fait voir. Chaque geste nous dÈplace. Líautre doit se prononcer, se compromettre. Tel Ulysse, j'opère et déconstruis tout de l'intérieur; on m'invite à entrer... ::::::::::::::::::::::::::::::::: Belinda Campbell "Dis-moi donc ce qui regarde?", 4min49, 2006 Il n'y a que les modèles qui se laissent regarder, en laissant poser nus leurs corps reposÈs, bien à l'abri, comme dans une toile de Jean-PaulLemieux. L'aspect jeune de leurs peaux maitrise la surface d'un regard posé sur eux. En allant dans ces zones restÈes encore fraÓches, la camera dicte ce qu'il doit être : plongeon au coeur d'un drame antipsychologique où un poulet, toujours froid, a subi on ne sait quel coup fatidique. L'égorgement en est peut-être une cause, passionnelle dans son évidence, mais les sourires, eux, ne sont pas loin. Belinda Campbell a présente plusieurs fois son travail de manière solo, notamment à Hull-Gatineau, Québec, Montréal et Marseille. Elle s'intéresse à la vidéo et à la performance dans son rapport étroit avec le théâtre, ::::::::::::::::::::: Frederic Lavoie, dans la poubelle, 1min53, 2007 Après avoir terminé des études en anthropologie et art visuels Frédéric Lavoie se consacre à la vidéo, à l’art audio, à l’installation et à la photographie. Ses monobandes vidéo ont été présentées dans de nombreux festivals à Montréal et à l’étranger. Ses recherches portent sur les capacités individuelles à inventer des manières d’être dans l’espace habité. ::::::::::::::::::::::: PINK FLOSS, LAMATHILDE : Pink Comb, 3min46, 2007 roule ta bille et carresse-toi dans le sens du poil, pour un orgasme tout miniblocien. quand le queer veut Ítre de la musique sans parole. Son travail porte sur le corps dans sa représentation ou son senti, essentiellement en traitant des genres et l'image de la femme. Toujours avec humour pour prendre une distance nÈcessaire, toujours en musique pour sentir les corps vivants en mouvement rythmique. Une mise en avant du quotidien Èvident et trop souvent invisible. Née en France Lamathilde vit et travaille à Montréal, elle fait partie du collectif de performances les WWKA, et est une membre trés active de la scène des arts visuels de Montréal. :::::::::::::::::::::: Claire Savoie. date-vidÈos, : 11.07.2006, 1min40, 2006 07.01.2007, 1min40, 2007 12.02.2007, 0min54, 2007 20.02.2007, 4min15, 2007 Ces vidéos (nommées ´date-vidéosª en référence au ´date-paintingsª de l'artiste conceptuel On Kawara) font partie d'un projet en cours depuis le 5 fÈvrier 2006. Celui-ci consiste à oeuvrer selon un protocole spécifique : bien que le montage puisse se faire parfois à une date ultÈrieure, seulement les données captées ou écrites correspondant à la date de l'image peuvent Ítre utilisées. L'image seule détermine la date et l'heure de la date-vid'o. La chasse du moment présent, il s'agit d'une sorte de chronique vidéo mettant en parallèle des condensations sensorielles diverses et des informations de différents ordres à travers la perception de moments furtifs quotidiens. Chaque vidéo est construite à partir díun seul plan-sÈquence d'une durÈe variant entre 10 sec. et 3 minutes. A ce jour, selon différentes dates, Claire Savoie est incapable de faire de l'aquarelle, de la sculpture, de la peinture à l'huile, de la lithographie, de tenir le rythme, de faire de la vidéo, de dessiner, de résister à l'envie. Claire Savoie a participée à de nombreuses expositions collectives au Canada et en Europe depuis 1984, dont L'art dans le monde, organisée par Beaux-Arts Magazine à Paris (1998), ::::::::::::::::::::::::::::: Sophie Castonguay, Tu m'as eu Walterli, 3min26, 2005 ::::::::::::::::::::::::::::::::: Patrick Bernatchez, sans titre, 13min16, 2007 Une tempête de neige dans un bureau. artiste autodidacte. http://www.patrickbernatchez.com/ :::::::::::::::: Sébastien Lapointe, installation vidéo extérieure, Performance réalisée dans l'espace public de Montréal , retourner l'affiche et recommencer à zéro... > > > > :::::::::::::::::::::