SAMEDI 29 OCTOBRE - 21h // Soirée de clôture du festival Chhhhhut organisée par le GRIM

A PROPOS DE JEAN-FRANCOIS PAUVROS ET JEAN MARC MONTERA

Jean-François Pauvros est un musicien français, guitariste électrique et improvisateur. Influencé par des guitaristes comme Jimmy Page, Sonny Sharrock ou Derek Bailey, et peut-être par Lightnin’ Hopkins et Charlie Christian, il participe au groupe Moebius avec Gaby Bizien et Philippe Deschepper.

Il fonde les groupes Marteau Rouge avec le preneur de sons Jean-Marc Foussat et le batteur Makoto Sato, « les quatre filles de l’industrie » avec Jean-François Binet, Jean-Marie Messa, Jean Nirouet, Ernie Brooks, Makoto Sato, joue en duo avec la harpiste Hélène Breschan. Il participe à des lectures-performances avec le poète Charles Pennequin et le poète japonais Gozo Yoshimasu.

Il est l’auteur entre autres de la musique des films Royal Bonbon de Charles Najman, Gris-Blanc de Karim Dridi et La Mécanique des femmes de Jérôme de Missolz. Il travaille régulièrement avec le cinéaste Guy Girard.



Guitariste français issu du rock, spécialiste de l’improvisation libre et de l’expérimentation sonore, Jean-Marc Montera se produit en solo et dans de nombreuses autres formations, Bad Boys, The Room, AMP, Desperate Monkeys…

Il a été invité à l’occasion de concerts exceptionnels aux côté de Sonic Youth et Patti Smith. Parmi les plus actifs dans le champ des musiques improvisées, il multiplie depuis les années 1970 les rencontres et les contacts avec d’autres univers artistiques, notamment très récemment avec le réalisateur Oliver Assayas.

Avec une trentaine d’albums au sein de différentes formations, il vient de participer à deux projets de vinyles tout juste sortis, AMP aux côté de Noël Akchoté et Jean-François Pauvros et Les anges du péché aux côté de Lee Ranaldo et Thurston Moore du groupe Sonic Youth.
Jean-Marc Montera est cofondateur et directeur du GRIM. Il s’associe en 1999 avec l’auteur et metteur en scène Hubert Colas, pour fonder montévidéo, centre de créations contemporaines à Marseille.



A PROPOS DE BERLINE 0.33

Emilie Ik, voix
Frédéric Kalfon, basse
Guillaume Verbrugge, guitare
Gilles Tredez, drums

Berline 0.33 expulse un post-punk glacial et corrosif. Si le groupe se revendique de groupes comme Chokebore, PiL, The Fall, Les Thugs, The Jesus Lizard ou encore Future of The Left, on peut aussi penser à Lydia Lunch ou Heliogabale.
Le groupe existe depuis 2007, a fait une cinquantaine de dates, et partagé la scène avec Enablers, Killing Joke ou encore The Conformists, Die!Die!Die!
Sortie vinyle de ‘Planned Obsolescence’ en septembre 2011 (Tandori records, Rejuvenation, Katatak)



A PROPOS DE ANTILLES

Erik Minkkinen (Sister Iodine, Noyade), claviers
Lionel Fernandez (Sister Iodine), guitare
Jérome Berg (The Berg Sans Nipple), batterie

Hartzine Live - ANTILLES from Hartzine on Vimeo.



Antilles pourrait évoquer un coucher de soleil paisible sur une mer d’huile. Pourtant le trio parisien serait plutôt la bande son idéale d’une cérémonie païenne sur une île en feu peuplée de maladies tropicales. Formé par deux membres de Sister Iodine (Lionel Fernandez et Eric Minkkinen) et un transfuge de Berg Sans Nipple (Lori Sean Berg, ici à la batterie), ce projet bruyant et apocalyptique conjugue volutes noise et rythmiques en transe. Sur une base expérimentale et en partie improvisée, le trio en live développe des climats hypnotiques teintés de no wave et de krautrock qui propulse les larsens dans le cosmos. Une expérience physique et psychique intense.

Du bon son

  • berline 0.33
  • jean marc montera - irlirium positive tension five

Des mirettes

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  • antilles
  • antilles1
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