Pour la belle fête de Mai : ANTONIO NEGRO

A PROPOS D'ANTONIO NEGRO Difficile de traiter du parcours de Negro tant il a joué dans des occasions très diverses, hormis dans sa vie quotidienne, donnant spontanément de son toque inspiré, de cet aire particulier qui tire l'esprit vers ses arcanes musicales.

Né à Marseille en 1956 au sein d'une famille gitane originaire d'Almeria, Negro a commencé à jouer à 6 ans et n'a pas beaucoup visité les cours de solfège. Autodidacte, côté visionnaire, très inspiré, poète au même titre que Julien Blaine, il est aussi gitan, guitariste de flamenco, complétement artiste, et son jeu se nourrit d'un vécu qui ne regarde pas en arrière. Il joue dans l'instant. Ces dernières années, il a composé une musique très marquée par la période d'Al Andalus. Ses falsetassont comme les voûtes des stucs sculptés de l'Alhambra : une suite de miniatures songeantes. Il figure au nombre des artistes flamenco du Sud de la France, sélectionnés par Pepe Linares. Reflejo flamenco est l'enregistrement du XXXIIIème Congrès International de Arte Flamenco à Nîmes en avril 2005.

Régulièrement, et ce depuis des années, il joue à La Machine à Coudre, rue Jean Roque à Marseille, où il invite ses cousins, Juan Carmona, Luis Cortes et tout ce que la cité Phocéenne et ses alentours comptent de flamenco, gitans et payos confondus, ainsi que des musiciens venus d'autres horizons : l'explosive chanteuse panaméenne Yomira Johns, le violoniste Bernard Python, le flûtiste Pierre Grivola... Des soirées qui se terminent parfois en juergas et où l'esprit d'improvisation propre au flamenco a tout le loisir de se développer. En avril 2006, il participe activement à la performance de flamenco numérique La Mort de Manolete dont il compose et interprète la musique. Ces compagnons de travail sont : Ivan Chabanaud du Chabalab, la danseuse Sophie Barberan et le cantaor Luis de Almeria. Il vit à Marseille et effectue des séjours réguliers à Jerez de la Frontera et à Grenade. De Jerez, il ramène le compas aéré et allègre de cette petite ville flamenca; de Grenade et ses quartiers gitans, une brise de poésie.

Il travaille sur une série de morceaux réunis autour du titre Les 7 Clefs d'Orphée. Il cherche un producteur pour l'enregistrement de ce travail.


Né à Marseille au sein d'une famille gitane originaire d'Almeria, Negro a commencé à jouer à 6 ans et n'a pas beaucoup visité les cours de solfège. Autodidacte, côté visionnaire, poète au même titre que Julien Blaine, il est aussi gitan, guitariste de flamenco, complétement artiste, et son jeu se nourrit d'un vécu qui ne regarde pas en arrière. Il joue dans l'instant. Ces dernières années, il a composé une musique très marquée par la période d'Al Andalus. Ses falsetassont comme les voûtes des stucs sculptés de l'Alhambra : une suite de miniatures songeantes.


Dernièrement, il a figuré au nombre des artistes flamenco du Sud de la France, sélectionnés par Pepe Linares et qui a tenu lieu d'enregistrement durant le XXXIIIème Congrès International de Arte Flamenco à Nîmes en avril 2005. Un reflet du flamenco en France : Reflejo flamenco. Régulièrement, et ce depuis des années, il joue à La Machine à Coudre, rue Jean Roque à Marseille, où il invite ses cousins, Juan Carmona, Luis Cortes et tout ce que la cité Phocéenne et ses alentours compte de flamenco, gitans et payos confondus, ainsi que des musiciens venus d'autres horizons : l'explosive chanteuse panaméenne Yomira Johns, le violoniste Bernard Python, le flutiste Pierre Grivola... Des soirées qui se terminent parfois en juergas et où l'esprit d'improvisation propre au flamenco a tout le loisir de se développer. En avril 2006, il participe activement à la performance de flamenco numérique LA MORT DE MANOLETE dont il compose et interprête la musique. Ses compagnons de création sont Ivan Chabanaud du Chabalab, la danseuse Sophie Barberan et le cantaor Luis Cortes. Il vit et travaille à Marseille et effectue des séjours réguliers à Jerez de la Frontera et à Grenade. De Jerez, il ramène le compas aéré et allègre de cette petite ville flamenca; de Grenade et ses quartiers gitans, une brise de poésie.

Sites Antonio Negro ----> http://www.myspace.com/negroantonio
http://wiki.garcia-ramos.net/index.php?n=Main.Antonio

Du bon son

  • Antonio negro - Buleria
  • Antonio negro - Intro

Des mirettes

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